3e édition de Ville Makers

Se rencontrer, se parler, voir, entendre, admirer...


Nous aspirons toutes et tous à retrouver la vie "normale". L'espoir renaît et, si nous ne sommes pas encore sortis de la séquence de la Covid-19, les signes du renouveau sont là : l'envie de travailler ensemble, de partager est en passe de succéder à la série d'incertitudes et de bouleversements qui se sont enchaînés depuis mars 2020.

Retrouvez cette nouvelle série de Ville Makers dans un ouvrage collectif inédit disponible en librairie et en e-book.

Découvrez les portraits

FRANÇOISE ADAMSBAUM, directrice du Musée International des Arts Modestes de Sète (MIAM)

FRANÇOISE ADAMSBAUM

directrice du Musée International des Arts Modestes de Sète (MIAM) :
« À l’heure actuelle, les porosités entre les univers par exemple de la bande dessinée, du jeu vidéo et d’Internet sont totalement entrées dans l’art contemporain […] Le confinement a été paradoxalement une période d’une grande richesse ! »

SIMON BAKER, directeur de la Maison Européenne de la Photographie (MEP)

SIMON BAKER

directeur de la Maison Européenne de la Photographie (MEP) :
« Être généreux, cela signifie être accessible : ne pas faire des expositions trop conceptuelles, mais plutôt […] maintenir le lien avec le public, à un moment où les gens avaient terriblement besoin d’images, de poésie et d’art. »

ANISSA BONNEFONT, scénariste et réalisatrice

ANISSA BONNEFONT

scénariste et réalisatrice :
« C’est de cela que traite le cinéma : voir la même chose, ensemble, mais différemment. Et c’est cela l’âme des villes : donner un espace en partage, que chacun s’approprie de manière différente »

DIDIER DESCHAMPS, directeur de Chaillot – Théâtre national de la danse

DIDIER DESCHAMPS

directeur de Chaillot – Théâtre national de la danse :
« Les initiatives de ces deux dernières années sont inséparables du contexte de la Covid-19, mais elles nous invitent à voir au-delà, à méditer et à nous projeter... La première chose que l’on remarque, c’est le lien qu’elles entretiennent avec les lieux ; avec la cité, mais aussi avec les facettes plurielles du monde rural. »

NICOLAS FROISSARD, porte-parole et codirigeant du GROUPE SOS

NICOLAS FROISSARD

porte-parole et codirigeant du GROUPE SOS :
« Dans les moments d’isolement, la culture permet d’oublier un peu les difficultés. Lorsqu’en plus, la visibilité́ est au rendez-vous, il y a une fierté́, une impression de compter, d’être écouté́. »

PHILIPPE GERMAIN, directeur de Ciclic Centre-Val de Loire

PHILIPPE GERMAIN

directeur de Ciclic Centre-Val de Loire :
« Un aspect important est de faire de chaque citoyen un acteur à part entière de la construction de l’offre culturelle, de sortir d’une logique de stricte consommation. »

SERGE LASVIGNES, président du Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou

SERGE LASVIGNES

président du Centre national d’art et de culture Georges-Pompidou :
« Avec la crise, nous passions d’une situation où nous promouvions la rencontre physique à une situation où ne pouvions agir qu’à travers les images des œuvres. Le centre est devenu un lieu d’expérimentations sur trois dimensions : le numérique ; l’action hors les murs ; le travail avec les artistes et la manière de faire vivre l’art. »

RACHID OURAMDANE, codirecteur du Centre chorégraphique national de Grenoble

RACHID OURAMDANE

codirecteur du Centre chorégraphique national de Grenoble :
« La plus grande part de notre démarche reposait sur le lien humain. Continuer sans était un défi immense, mais le calcul était au fond très simple : prendre les choses en main, ou se résigner à ne rien faire – ce qui n’a jamais été une option. »

CAMILLE THOMAS, Violoncelliste

CAMILLE THOMAS

Violoncelliste :
« J’ai quitté l’espace de mon appartement. Sans mauvais jeu de mots, j’ai voulu sortir de cette situation... par le haut. C’est à ce moment-là̀ que j’ai commencé à jouer sur les toits de mon immeuble. »

BENOÎT VOITURIEZ

directeur administratif et financier du Ballet Preljocaj :
« Nous avons eu la grande frustration de travailler sans le rapport scénique avec le public, mais nous l’avons transformée en force. Très vite, nous avons essayé́ de penser à l’après, nous appuyer sur nos pratiques très ancrées dans les espaces urbains pour faire revivre l’art et la danse dans cette période particulière. »

" Maintenir le dialogue et le lien avec le public, c'était la priorité de toutes les personnes qui ont contribué à cet ouvrage et que nous avons souhaité mettre à l'honneur dans cette édition 2021 de Ville Makers. Grâce à leur audace, à leur créativité, à leur force de travail et - osons le dire ! - à leur courage, elles fabriquent la culture dans les villes de demain et sont autant de sources d'inspiration pour nous. "

Michel Mathieu, Directeur Général LCL

Ville Makers 2021
Portraits Ville Makers