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Une rentrée post-confinement

30 s

LCL et Harris Interactive ont réinterrogé des urbains pour connaître leur vécu en ces temps de crise. L’enquête, menée du 1er au 5 octobre, auprès d’un échantillon représentatif de 1 137 urbains, représentatifs des habitants des agglomérations de 100 000 personnes et plus, laisse entrevoir un quotidien nouveau, un peu bouleversé, mais non sans positivisme pour cette rentrée 2020...

Les urbains et les transports

Une rentrée post confinement, entre tensions sanitaires et bouleversement des habitudes

Les urbains abordent cette rentrée dans une atmosphère en demi-teinte : 57% se disent sereins, mais ils sont nombreux à se sentir stressés (43%, notamment les femmes, 50%).
Se sentant bien organisés dans leur quotidien (88%) et en maîtrise de leur temps (85%), ils restent néanmoins prudents sur ces affirmations (moins de 30% se déclarent « tout à fait » en maîtrise).

Et pour cause, leurs habitudes de vie, au cours de ces derniers mois ont été, dans de très nombreux domaines, largement bousculées (loisirs, 62%, vie sociale, 62%, travail, 60% des actifs, etc.).

Bouleversés également dans leurs modes de transport (50%), ils prennent aujourd’hui moins les transports en commun (33% une fois par semaine, -9 points), et ont dû s’adapter aux mesures sanitaires mises en place par le Gouvernement dans leur ville.

Dans l’ensemble, les urbains se montrent compréhensifs

Avec ces différentes mesures destinées à lutter contre la diffusion du virus, les urbains, reconnaissant qu’il s’agit de contraintes dans leur vie quotidienne pour 64% d’entre eux (69% en région parisienne), les trouvent justifiées au vu de la situation (79%), déclarent les appliquer (92%), voire demandent leur renforcement (53%), sans qu’un sentiment d’injustice majeur (seulement 36%, un peu plus fort chez les plus jeunes) ne les saisissent à l’égard des autres Français.

Et malgré le risque élevé de reconfinement qu’ils perçoivent, au niveau national (62%) mais surtout directement au niveau local au sein de leur ville (69%), ils demeurent relativement sereins à cette idée.

Certes, une majorité a peur de cette éventualité (59%), mais se sent également prête à l’affronter. (63%) et s’estime aujourd’hui mieux organisée pour y faire face (81%). Dans la majorité des cas, si un reconfinement devait avoir lieu, les urbains choisiraient de rester chez eux, dans leur logement en ville (63%), comme lors du premier confinement (89% indiquent être restés chez eux).

26% chercheraient néanmoins à se rendre dans une zone plus rurale, signe, tout de même, d’une certaine tension à vivre une vie urbaine dans des conditions confinées.